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La Fée sans ailes - 2016

Ne tourne plus !

Conte pour trois corps et un cassettophone

de 3 à 8 ans

Catherine Makereel, Le Soir***
"Le conte de fée se fait et se défait avec humour et dextérité. Dans des chutes et quiproquos très chapelinesques (...) Tout est fait main, dans un mélange de poésie douce et de burlesque (...) un sublime final, en théâtre d'ombre."
 
Sarah Colasse, Le Ligueur
"On aime le côté rudimentaire de l'affaire: l'environnement un peu foutraque, les objets de récup' dans cet univers nacré (...) On aime le travail des corps, la complicité tissée, le rythme, le côté précis mais détendu et ludique...
C'est souvent dans la simplicité que réside le plus la magie... Et la magie nous dit ici que la communauté et l'imaginaire sont de précieux alliés pour avancer dans la vie."
 
Laurence Bertels, La Libre Belgique
"Une mise en scène (...) teintée de douceur, de poésie, d'humour et de vivacité. Une alchimie prometteuse." 

Trois interprètes un rien maladroits viennent nous raconter une histoire avec leurs bouts de ficelles : un cassettophone pour les quelques mots et, pour le reste, leurs corps et divers objets disposés sur les côtés du plateau.
« Il était une fois le grand bal des fées... » Mais voilà qu’un orage éclate et que la fée Iria, dans une terrible chute, perd ses ailes et se blesse la jambe. Elle sera recueillie par deux étranges habitants des sous-bois : Bolet, apprenti maçon et chasseur de papillons, et Bardane la grand- mère de Bolet et contremaître du village. Iria, trop fière pour accepter leur aide et réapprendre à marcher, rêve au fond de voler à nouveau.
Du côté des comédiens se noue un autre drame : leur rivalité pour le premier rôle tourne à la franche bagarre. Dans le conte comme sur le plateau, c’est l’individualisme qui empêche d’avancer...
Les interprètes parviendront-ils au bout de leur histoire ?
Iria retrouvera-t-elle les airs ?

Un spectacle qui partage la joie du jeu et de l’invention, la simplicité de l’imaginaire qui s’envole à partir du plus concret.

La fée sans ailes, sous la trame simple d’un conte pour enfants, déconstruit la machine théâtrale avec ludisme et poésie. L’histoire nous parle de différence, de rencontre de l’autre et d’évolution à son contact. De même les comédiens doivent se rencontrer dans leur différence pour ensemble créer le spectacle sous nos yeux.
Tous les espaces qui s’ouvrent entre les lignes du conte offrent poésie et humour aux enfants. Miroirs de nos maladresses et de nos besoins premiers de reconnaissance et d’amour, ils font voyager l’imaginaire au-delà de l’intrigue première. Les défaut et conflits des comédiens se dépassent au profit de la narration qui les réunit.
Se raconter des histoires comme possibilité pour les humains de transcender leur condition ?
Et si le désir d’élévation d’Iria était celui de rêver et d’inventer ?
Et si le théâtre et les histoires ne pouvaient exister qu’en communauté ?
Et si c’était l’imaginaire qui allait rendre à Iria ses ailes ?

Presse aux Rencontres de Huy 2016

Catherine Makereel, Le Soir, 7 mars 2017 ***

 "Le conte de fée se fait et se défait avec humour et dextérité. Dans des chutes et quiproquos très chapelinesques (...) Tout est fait main, dans un mélange de poésie douce et de burlesque (...) un sublime final, en théâtre d'ombre." 

Sarah Colasse, Le Ligueur, 22 août 2016

"On aime le côté rudimentaire de l'affaire: l'environnement un peu foutraque, les objets de récup' dans cet univers nacré (...) On aime le travail des corps, la complicité tissée, le rythme, le côté précis mais détendu et ludique...
C'est souvent dans la simplicité que réside le plus la magie... Et la magie nous dit ici que la communauté et l'imaginaire sont de précieux alliés pour avancer dans la vie." 

Laurence Bertels, La Libre Belgique, 22 août 2016

"Une mise en scène (...) teintée de douceur, de poésie, d'humour et de vivacité. Une alchimie prometteuse." 

Écriture collective d'après Lenia Major
Mise en scène: Roxane Lefebvre et Laura Durnez
Avec Roxane Lefebvre, Christophe Marrand et Katia Dergatcheff en alternance avec Citlalli Ramirez Mauroy
Scénographie: Alicia Jeannin
Costumes: Alexandra de Wilde
Conseils lumière: Laura Durnez
Conseils et technique son: Raymond Delepierre
Production: Lire c'est Partir
Partenaires de création: La Roseraie, le CC d'Evere, le GC de Nekkersdal
Bénéficie des tournées Art et Vie